Les commerçantes qui ont bénéficié du « crédit commerce » à la microfinance WISE s.a sont ravis du fait que les activités qu’elles ont initiées sont reluisantes. Elles remercient cette IMF et lui demandent de continuer à les appuyer pour qu’elles sortent progressivement de la pauvreté
Les commerçantes bénéficiaires du « crédit commerce » à la microfinance WISE s.a se réjouissent du fait qu’elles sont parvenues à initier des activités génératrices de revenus.
Lysa Fiona Mugisha. « Je connais la microfinance WISE s.a, car nous collaborons très bien. Elle m’a offert un crédit. Avec ce crédit, j’exerce le commerce des parfums ».
C’est à titre illustratif le cas de Lysa Fiona Mugisha. « Je connais la microfinance WISE s.a, car nous collaborons très bien. Elle m’a offert un crédit. Avec ce crédit, j’exerce le commerce des parfums », précise-t-elle. Elle affirme que son activité commerciale se déroule bien. Et de lui demander de continuer à financer les autres pour qu’ils sortent progressivement de la pauvreté.
Stéphanie Nzorubara aborde dans le même sens. « Je connais la microfinance WISE s.a», indique-t-elle. Elle fait savoir qu’elle a contracté un crédit à cette microfinance après l’incendie du marché central de Bujumbura pour faire le commerce. Elle importe les produits de beauté de l’étranger. Suite à cela, elle affirme que les conditions de vie de sa famille sont devenues bonnes.
Deux sur trois de ses enfants ont terminé leurs études universitaires. Elle demande aux autres clients de Wise s.a microfinance de bien utiliser les crédits qu’ils contractent. Elle précise cela, car il y a certains clients qui s’arrogent le droit de détourner l’objet du crédit en achetant d’autres choses que celles convenues pour se faire plaisir.
Les personnes vivant avec un handicap prises en compte
WISE s.a microfinance n’a pas oublié les personnes vivant avec un handicap comme le témoigne Bernadette Nzokira, représentante légale de l’atelier des filles handicapées d’espoir.
Bernadette Nzokira, représentante légale de l’atelier des filles handicapées d’espoirꓽ « auparavant, nous étions appuyées par une association des Italiens. Après leur départ, WISE s.a microfinance nous a offert un crédit pour continuer nos activités. Nous confectionnons des habits et mettons au point des produits de différentes catégorie ».
Selon elle, auparavant, elles étaient appuyées par une association des Italiens. Après leur départ, WISE s.a microfinance leur a offert un crédit pour continuer leurs activités. Elles confectionnent des habits et mettent au point des produits de différentes catégories.
Elles font le design, confectionnent des couvres lits, des draps, des produits de beauté tels que les bracelets et les colliers qu’on porte au niveau du cou. Elles réparent les sacs à main, etc. Nous formons aussi les jeunes sur le métier de couturier, laisse‐ t‐ elle entendre. Elle explique que l’objectif est de préparer les jeunes qui vont les relayer dans les jours à venir.
Elle remercie alors la microfinance WISE s.a pour son appui financier. Elle est venue au moment opportun et elle la considère comme un bon parent. Selon elle, après le départ des Italiens, les femmes vivant avec un handicap ne voyaient pas à quel saint se vouer.
Et depuis cette période estimée à sept ans, la microfinance WISE s.a est au chevet d’elles. Elle leur accorde un crédit en cas de besoin. Pourtant, elle déplore que les burundais n’aiment pas acheter les produits locaux.
Elle fait savoir que même récemment WISE s.a microfinance leur a accordé un crédit pour agrandir l’atelier dans l’objectif de créer beaucoup d’emplois et d’augmenter le rendement afin de parvenir à satisfaire la demande.
Elle indique qu’elles ont engagé d’autres employés pour les appuyer, car il arrive qu’il y ait l’une ou l’autre membre de cet atelier qui s’absente parce qu’il n’a pas trouvé de bus. Actuellement, cette société est composée de 6 membres qui sont des femmes.
Elle affirme qu’elles ont des clients. C’est à titre d’exemple la Présidence et l’OPDAD.
Elle demande à la population de consommer les produits locaux, car ils sont bien confectionnés. Ils sont même fabriqués à base des matières premières importées. « Dans ce sens, nos sociétés vont se développer. Le pays va aussi se développer », confie-t-elle.
Du reste, elle explique que le handicap physique est une maladie comme tant d’autres. Si les parents t’envoient à l’école, tu exerces toutes les activités. Selon elle, ceux qui croient que les personnes vivant avec un handicap sont des gens à qui on donne de l’argent ou d’autres choses gratuitement se trompent.
Les commerçantes qui ont bénéficié du « crédit commerce » à la microfinance WISE s.a sont ravis du fait que les activités qu’elles ont initiées sont reluisantes.
Selon elle, ceux qui quémandent dans la rue le font parce qu’on leur a montré qu’ils ne valent rien. Donner un montant de 100 FBu à quelqu’un ne vaut rien. Il faut plutôt lui montrer comment il va travailler pour gagner cet argent.
Elle remercie alors WISE s.a, car elle ne les a pas dédaignées. Elle les a plutôt financées. Elle demande à cette institution de microfinance de continuer sur la même lancée.
Brice Nineza, directeur des opérations et directeur général adjoint de WISE s.a microfinance se réjouit du fait que les bénéficiaires des crédits offerts par cette IMF en général et du crédit commerce en particulier parviennent à se développer. Il affirme que WISE s.a microfinance est toujours prête à appuyer la population qui est dans le besoin pour qu’elle puisse initier des activités génératrices de revenus.
Il remercie son partenaire TDF qui l’accompagne depuis 2020 pour parvenir à financer ceux qui ont besoin du crédit commerce.
Et de conclure que le crédit commerce est très convoité actuellement.