Sport

Intamba Murugamba, la consécration

Ça y est ! Les Intamba Murugamba iront en Egypte ! Après un match nul (1-1) contre les Panthères du Gabon, le Burundi entre dans le carré très fermé des pays ayant atteint la phase finale de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN). Retour sur cet événement qui a suscité ferveur et communion de toute une nation

A la 75ème minute de jeu, Cédric Amissi inscrit le premier but qui enflamme le stade Prince Louis Rwagasore. Photo d’ Emery Nkuzimana (Bizos)

Au début du match, les deux équipes passent les premières minutes à faire circuler le ballon au milieu  du terrain. Personne n’ose attaquer frontalement  l’adversaire. Les joueurs donnent l’impression de s’observer mutuellement.  On sent que l’enjeu du match est très important. On ne veut pas prendre des risques au début du match. Mais les athlètes se mettent vite en confiance et les premières salves tombent. Ce sont les Burundais qui prennent l’initiative et qui vont à l’abordage. Ils ouvrent carrément les hostilités en s’installant dans la moitié gabonaise du terrain. Les poulains d’Olivier Niyungeko alias Mutombola (le sélectionneur du Burundi) savent que la meilleure défense c’est l’attaque. Ils se mettent vite en confiance, mais n’impressionnent pas totalement les Gabonais qui continuent à essayer de développer leur jeu. Au fur et à mesure que les minutes s’égrènent, le match gagne en intensité. Les Gabonais s’enhardissent et tentent quelques excursions dans le camp adverse. Pour autant, les Hirondelles du Burundi ne se  formalisent pas. Elles continuent, bon gré mal gré, à désorganiser le jeu gabonais.  Le match devient très équilibré à la demi-heure de jeu. Aucune équipe ne parvient à prendre le dessus. On assiste à des duels très disputés au milieu du terrain. 

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https://burundi-eco.com/wp-content/uploads/2019/04/Encart_Intamba_Mailling.pdf

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Parfait Nzeyimana.

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éditorial

Sans transparence, pas de confiance

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Dans une interview accordée au journal Burundi Eco, Albert G. Zeufack, directeur des opérations de la Banque Mondiale pour quatre pays africains, à savoir : la République Démocratique du Congo (RDC), l’Angola, le Burundi et São Tomé-et-Príncipe, en visite au Burundi à la mi-avril 2025, est revenu à plusieurs reprises sur un mot-clé : transparence. « Sans transparence, il ne peut pas y avoir de confiance », a-t-il affirmé. Selon lui, la transparence est essentielle à la mise en œuvre des visions claires formulées par le gouvernement pour conduire le pays vers un développement durable. Il rappelle d’ailleurs :« La transparence des données est fondamentale. »

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