Culture

La communication non violente au service de la paix

« Cessez d’être gentil, mais soyez vrai » ; tels sont les mots du professeur Adolphe Sururu dans son exposé sur la communication non violente fait ce vendredi 26 août 2016. C’est dans la suite des conférences sur la culture du dialogue pour la paix organisées par la Chaire Unesco en collaboration avec la Maison de l’UNESCO et l’école de la foi.

communication non violente

 

 Selon professeur Adolphe Sururu qui a présenté le thème en rapport avec  la Communication Non Violente (CNV) dans la communication non violente, on vise le maintien de la relation de bienveillance. «  Cela ne signifie pas être gentil ou laisser faire, mais plutôt on pense aux conséquences de nos propos sur la vie de l’autre, que pourrais-je faire pour que notre vie à nous tous soit la meilleure possible », explique professeur Sururu.

 

Il indique que la communication non violente est une manière de penser et de parler qui vise à mettre de la compréhension et du respect mutuel dans les échanges. Elle aide chacun à se relier sa capacité de comprendre avec le cœur et à se faire entendre sans agressivité.

 

Construire en se basant sur les principes de la CNV

 

D’après professeur Sururu, la communication non violente peut être utilisée à partir de bonnes résolutions. Il cite notamment la résolution de respecter totalement la liberté de l’autre, la résolution de viser non seulement la satisfaction de nos besoins, mais aussi ceux des autres (ne pas faire à l’autre ce qu’on n’aime pas que l’on fasse pour nous).

 

Il fait remarquer que se baser sur les principes de la CNV signifie être au service de la vie, être dans le vrai, savoir lâcher prise, être un fertilisant dans la communauté et savoir assumer le « je » et quitter le jeu de « qui a tort »ou « qui a raison ».

 

« Dans tout ce que nous faisons et dans tout ce que nous disons, posons nos actes et sortons des paroles que nous pouvons assumer devant l’histoire et l’humanité. Faisons toujours notre part  pour un monde de paix et un monde harmonieux », conclut  professeur Sururu. Et d’ajouter : « Nous sommes les acteurs de notre vie et c’est nous qui choisissons le rôle à jouer ».

A propos de l'auteur

Bella-Sonia Ndamiye.

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