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iHelá Credit Union aux côtés des femmes vendeuses

Le personnel féminin de l’institution de microfinance iHelá Credit Union a octroyé un fond aux femmes vendeuses dans différents marchés de Bujumbura. Cela pour promouvoir l’autonomisation financière de la femme. Les bénéficiaires se réjouissent de cette initiative.

Les femmes bénéficiaires des prêts d’iHelá Credit Union qui œuvrent au marché de Musaga affirment unanimement qu’elles vont augmenter la quantité des produits qu’elles commercialisent.

 

Dans le cadre de la célébration de la journée internationale des droits de la femme, le personnel féminin de la Fintech burundaise iHelá Credit Union a appuyé les femmes commerçantes dans les marchés de Musaga, Ngagara II (dit Cotebu) et Bujumbura City Market (chez Sion) à travers le programme visant la promotion et l’autonomisation de la femme. Cela dans le but de reconnaître et de valoriser l’importance de la femme dans l’économie burundaise. Concrètement, iHelá Credit Union a octroyé à ces femmes des prêts remboursables dans trois mois à un taux d’intérêt très bas.

Ce programme consiste en l’octroi d’un appui aux femmes qui constituerait un tremplin pour développer leurs activités commerciales afin de garantir leur indépendance économique. Pour la pérennisation de ce programme, plusieurs séances d’éducation financière seront dispensées aux femmes vendeuses bénéficiaires de ces prêts sous l’égide du personnel féminin d’iHelá Credit Union.

Une initiative prometteuse

« L’activité organisée par iHelá Credit Union s’inscrit dans une logique de développement et d’une valorisation mutuelle entre les femmes à l’occasion de la journée internationale des droits de la femme. En effet, à l’opposé de dons en vivre ou sous autres formes, un micro crédit à des taux sociaux valorise le bénéficiaire et offre des opportunités futures. Nous avons voulu faire un geste qui nous servira de repère l’année prochaine [2025] en miroir de ce qui a été fait cette année [2024] », précise Mme Alix Kimana, responsable de la distribution chez iHelá Credit Union. Elle ajoute que cette journée est célébrée chaque année certes, mais que souvent elle est marquée par des moments festifs. Par contre, pour cette année 2024, iHelá Credit Union a voulu faire autrement en appuyant la femme dans son combat pour le développement économique.

C’est pour cette raison que les femmes qui travaillent à iHelá Credit Union se sont mises ensemble pour contribuer positivement dans la vie de ces femmes à moyens limités qui n’accèdent que rarement aux facilités bancaires.

Comment les femmes bénéficiaires de ces crédits ont été identifiées ?

« Comme iHelá Credit Union dispose d’agences dans les différents marchés de Bujumbura et à l’intérieur du pays, nous avons juste regardé autour de nous les femmes qui ont ouvert des comptes dans notre institution de microfinance et qui exercent un petit business. En retour, ces femmes ont aussi montré un intérêt de collaborer avec notre institution », indique Mme Kimana. Nous avons voulu soutenir leurs efforts afin qu’elles se développent davantage, renchérit-elle. Puisque ces femmes ne peuvent pas avoir facilement accès aux crédits, ce programme se porte garant auprès de l’institution qui les leur octroi à un taux considérablement très bas.

Les femmes bénéficiaires des crédits octroyés par iHelá Credit Union se réjouissent de cette initiative et ont promis de poursuivre avec enthousiasme leurs activités commerciales.

Perspective d’avenir

Selon Mme Kimana Alix, si ce projet réussit, La fintech pourra prochainement augmenter la somme octroyée par rapport à ce qu’elle a disponibilisée cette année. Plus de femmes seront donc concernées par ce programme. « Si les femmes bénéficiaires remboursent cet argent de façon normale comme convenu, il y a possibilité de plaider auprès de notre institution de les appuyer encore plus afin qu’elles accroissent leurs capitaux », affirme Mme Kimana.

« Si les femmes bénéficiaires remboursent l’argent de façon normale comme convenu, il y a possibilité de plaider auprès de notre institution de les appuyer encore plus afin qu’elles accroissent leurs capitaux », précise Alix Kimana, responsable de la distribution chez iHelá Credit Union.

Les bénéficiaires s’en réjouissent

Les femmes bénéficiaires de ces crédits se réjouissent de cette initiative d’iHelá Credit Union et ont promis de poursuivre avec enthousiasme leurs activités commerciales dans le but d’immerger dans l’inclusion financière et l’autonomisation de la femme burundaise. La plupart des femmes bénéficiaires de ces prêts qui œuvrent au marché de Musaga font le commerce des bananes. Elles affirment unanimement qu’elles vont augmenter la quantité des produits qu’elles commercialisent. Elles promettent de ne pas décevoir la confiance leur accordée par iHelá Credit Union via ce programme d’appui.

« Je remercie iHelá Credit Union d’avoir pensé aux femmes commerçantes qui ont des moyens financiers limités. Nous avons bénéficié de quelque chose de très important car, bénéficier d’un prêt de la part d’une institution financière sans hypothèques, n’est pas habituel. Cette institution nous a fait confiance gratuitement. Encore plus, cela me permettra d’accroître le capital », indique Jacqueline Ntibashima, propriétaire d’un restaurant au marché Bujumbura City Market (Chez Sion). Elle affirme qu’avec ce fonds, elle va redynamiser son business en diversifiant un peu plus les variétés du menu de son restaurant.

 

iHelá Credit Union est une institution de microfinance de première catégorie. Elle a une plateforme digitale appelée iHela Ryanje, une application disponible sur playstore, appstore et sur web. Avec cette application, le client a accès à son compte de partout et à tout moment.

iHelá Ryanje permet  de :

–       Consulter ses comptes (courant, crédit, épargne)

–       Transférer vers les banques, microfinances et portefeuilles électroniques au Burundi

–       Payer les factures

–       Acheter les unités et renouveler un abonnement

–       Déposer et retirer de l’argent sur des plateformes de paris sportifs.

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Le tableau s’assombrit

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Du jamais vu ; un déficit record a été enregistré depuis la création de l’Office Burundais des Recettes (OBR) en 2009, une institution chargée de maximiser les recettes. Un déficit de 110 milliards de FBu sur les 4 derniers mois de l’année budgétaire 2024-2025, déclaré par l’autorité compétente, ne peut pas passer inaperçu. Pire encore, parmi les causes évoquées pour expliquer cette diminution des recettes figurent des facteurs tels que le rôle crucial des agents chargés de maximiser ces recettes, la corruption et la complicité entre les contribuables et les agents, pour ne citer que ceux-là.

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