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Les médias interpellés à contribuer à la réduction des VSBG

Le Collectif des Associations Féminines de la Région des Grands Lacs (COCAFEM)  a organisé une conférence  de presse à l’intention des partenaires et des médias mercredi le 30 août 2017 afin que chacun puisse contribuer à l’éradication des Violences Sexuelles et Basées sur le Genre (VSBG).

Au milieu Thérèse Ntijimama, présidente COCAFEM

Selon Thérèse Ntijimana, présidente de la COCAFEM, le message pour les médias consiste à lancer une réflexion sur la capitalisation des espaces des médias sur le genre en matière de prévention, de protection, d’assistance aux victimes  et/ ou rescapés et de lutte contre l’impunité des auteurs de ces violences.

Pour Mme Ntijimana, les médias qui ont une voix qui porte  loin pourraient aider à vulgariser existence  les lois que le gouvernement  a mises en place en vue de lutter contre les VSBG et  la déclaration de Kampala.

Du côté de la Justice, Emilie Ntamatungiro du ministère de la Justice, salue le pas franchi dans la mise en place des instruments de lutte contre les VSBG, mais demande qu’il y ait des mesures d’accompagnement pour bien faire face à tous les défis.

A propos de l'auteur

Bella-Sonia Ndamiye.

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éditorial

Sans transparence, pas de confiance

Sans transparence, pas de confiance

Dans une interview accordée au journal Burundi Eco, Albert G. Zeufack, directeur des opérations de la Banque Mondiale pour quatre pays africains, à savoir : la République Démocratique du Congo (RDC), l’Angola, le Burundi et São Tomé-et-Príncipe, en visite au Burundi à la mi-avril 2025, est revenu à plusieurs reprises sur un mot-clé : transparence. « Sans transparence, il ne peut pas y avoir de confiance », a-t-il affirmé. Selon lui, la transparence est essentielle à la mise en œuvre des visions claires formulées par le gouvernement pour conduire le pays vers un développement durable. Il rappelle d’ailleurs :« La transparence des données est fondamentale. »

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