News

Les médias interpellés à contribuer à la réduction des VSBG

Le Collectif des Associations Féminines de la Région des Grands Lacs (COCAFEM)  a organisé une conférence  de presse à l’intention des partenaires et des médias mercredi le 30 août 2017 afin que chacun puisse contribuer à l’éradication des Violences Sexuelles et Basées sur le Genre (VSBG).

Au milieu Thérèse Ntijimama, présidente COCAFEM

Selon Thérèse Ntijimana, présidente de la COCAFEM, le message pour les médias consiste à lancer une réflexion sur la capitalisation des espaces des médias sur le genre en matière de prévention, de protection, d’assistance aux victimes  et/ ou rescapés et de lutte contre l’impunité des auteurs de ces violences.

Pour Mme Ntijimana, les médias qui ont une voix qui porte  loin pourraient aider à vulgariser existence  les lois que le gouvernement  a mises en place en vue de lutter contre les VSBG et  la déclaration de Kampala.

Du côté de la Justice, Emilie Ntamatungiro du ministère de la Justice, salue le pas franchi dans la mise en place des instruments de lutte contre les VSBG, mais demande qu’il y ait des mesures d’accompagnement pour bien faire face à tous les défis.

A propos de l'auteur

Bella-Sonia Ndamiye.

Le contenu des commentaires ne doit pas contrevenir aux lois et réglementations en vigueur.
La rédaction se réserve le droit de ne pas publier les commentaires enfreignant ces règles et les règles de bonne conduite.

éditorial

Un environnement des affaires peu attractif

Un environnement des affaires peu attractif

A l’instar des autres pays, le Burundi se lance dans le redressement de son économie pour améliorer les conditions de vie des populations et réduire les inégalités sociales. Ainsi, « le pays s’est engagé sur la voie de la transformation économique de manière à augmenter et diversifier la production sans entraver l’équilibre écologique », a déclaré le président de la République Evariste Ndayishimiye lors du sommet des chefs des Etats tenu à Nairobi le mois précédents. La campagne de lutte contre la pauvreté pour aspirer à la prospérité partagée et un développement durable se heurte à des défis de taille. Même si le gouvernement s’est donné un pari de l’émergence endéans 16 ans, à travers sa nouvelle « Vision d’un Burundi Emergent en 2040 et Développé en 2060 », l’économie nationale est plus que jamais exposée aux chocs extérieures.

    Abonnez-vous à notre bulletin

    Journal n° 607

    Dossiers Pédagogiques

    Facebook

  • éditorial

    Un environnement des affaires peu attractif

    Un environnement des affaires peu attractif

    A l’instar des autres pays, le Burundi se lance dans le redressement de son économie pour améliorer les conditions de vie des populations et réduire les inégalités sociales. Ainsi, « le pays s’est engagé sur la voie de la transformation économique de manière à augmenter et diversifier la production sans entraver l’équilibre écologique », a déclaré le président de la République Evariste Ndayishimiye lors du sommet des chefs des Etats tenu à Nairobi le mois précédents. La campagne de lutte contre la pauvreté pour aspirer à la prospérité partagée et un développement durable se heurte à des défis de taille. Même si le gouvernement s’est donné un pari de l’émergence endéans 16 ans, à travers sa nouvelle « Vision d’un Burundi Emergent en 2040 et Développé en 2060 », l’économie nationale est plus que jamais exposée aux chocs extérieures.
  • Journal n° 607

  • Dossiers Pédagogiques