Après l’Amstel Beer disponible en formats 65 cl et 50 cl, voici le nouveau venu : l’Amstel Bright, présenté dans une même bouteille d’emballage, qui désaltère les gorges sèches des amateurs de la sainte mousse. Du Nord au Sud, de l’Ouest à l’Est du pays, dans une carence ennuyeuse de la première saveur (Amstel Beer), la deuxième saveur (Amstel Bright) n’arrive pas toujours à consoler les âmes assoiffées, selon certains consommateurs conservateurs.

Plus cher que l’Amstel Beer, l’Amstel Bright, cette nouvelle boisson à base de maïs, anime les débats. Introduit officiellement sur le marché au mois de mars 2025, certains consommateurs témoignent que le nouveau produit n’est pas aussi rafraîchissant qu’ils l’espéraient et en déplorent le goût, tout en appelant la Brarudi à revenir à l’ancienne Amstel. Le caprice des habitudes est surprenant, car les bières Amstel supposées préférées ont également eu un début.
Par contre, la teneur en alcool, le pH, l’acidité totale titrable, l’acidité volatile… sont-ils les mêmes pour les deux bières ? Peut-être que nous comparons deux éléments incomparables. Nous ne sommes pas techniciens en la matière et ne faisons pas la promotion de l’Amstel Bright, ni ne cherchons à rabaisser ce nouveau produit dans le secteur de la fabrication de bière.
Ce qui est remarquable et mérite d’être souligné, c’est l’importance accordée à la bière, un élément incontournable non seulement dans la tradition, mais aussi aujourd’hui pour agrémenter les fêtes et tisser des liens d’amitié, sans oublier l’aspect du divertissement.
Lors de l’introduction de l’Amstel Royale par la Brarudi, certains ont crié haro sur le baudet. Pourtant, aujourd’hui, celui-ci fait partie des boissons les plus recherchées. Même s’il existe des défis qui échappent aux entreprises afin de produire une plus grande quantité de bière, celles opérant dans ce secteur pourraient tirer parti des critiques constructives pour augmenter leur production et continuer à innover, surtout que l’avenir nous réserve des surprises.
Par ailleurs, même des boissons produites à plus de 600 km à vol d’oiseau sont consommées, pourquoi pas celles produites à partir de produits locaux ?
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