Commerce

Signature d’un protocole d’entente entre TMEA et la RDC

TradeMark East Africa ( TMEA ) a signé un protocole d’entente avec la République Démocratique du Congo (RDC). Objectif : faciliter la réalisation des projets visant à améliorer le commerce transfrontalier et à renforcer les liens commerciaux entre la RDC et les Etats membres de la Communauté Est Africaine (CEA). Cela ressort d’un communiqué de presse de TMEA du 29 mars 2017

« Avec ce protocole d’entente, TMEA, reproduira et consolidera son succès à contribuer dans la facilitation du commerce transfrontalier. Dans le cas présent, TMEA va investir dans les ressources déjà disponibles comme le transport lacustre et faciliter l’adoption des technologies de l’information et de la communication (TIC) le long de la région Est de la RDC », lit-on dans le communiqué. Les projets visés comprendront le dragage et la réhabilitation du port de Kalundu sur le lac Tanganyika, le soutien au commerce transfrontalier, qui impliquera le renforcement des capacités ainsi que la mise en œuvre de systèmes intégrés de gestion des frontières aux postes frontaliers de Rusizi entre le Rwanda et la ville de Bukavu; la réhabilitation des ports de Kasenyi (coté RDC) et Ntoroko (coté Ouganda) et enfin les travaux d’infrastructures au poste frontalier de Goli (coté Ouganda) et Mahagi (coté RDC). Les Pays-Bas ont pris l’engagement de débloquer 6,7 millions USD pour lancer les projets y relatifs.

A propos de l'auteur

Mélance Maniragaba.

Le contenu des commentaires ne doit pas contrevenir aux lois et réglementations en vigueur.
La rédaction se réserve le droit de ne pas publier les commentaires enfreignant ces règles et les règles de bonne conduite.

éditorial

Un environnement des affaires peu attractif

Un environnement des affaires peu attractif

A l’instar des autres pays, le Burundi se lance dans le redressement de son économie pour améliorer les conditions de vie des populations et réduire les inégalités sociales. Ainsi, « le pays s’est engagé sur la voie de la transformation économique de manière à augmenter et diversifier la production sans entraver l’équilibre écologique », a déclaré le président de la République Evariste Ndayishimiye lors du sommet des chefs des Etats tenu à Nairobi le mois précédents. La campagne de lutte contre la pauvreté pour aspirer à la prospérité partagée et un développement durable se heurte à des défis de taille. Même si le gouvernement s’est donné un pari de l’émergence endéans 16 ans, à travers sa nouvelle « Vision d’un Burundi Emergent en 2040 et Développé en 2060 », l’économie nationale est plus que jamais exposée aux chocs extérieures.

    Abonnez-vous à notre bulletin

    Journal n° 607

    Dossiers Pédagogiques

    Facebook

  • éditorial

    Un environnement des affaires peu attractif

    Un environnement des affaires peu attractif

    A l’instar des autres pays, le Burundi se lance dans le redressement de son économie pour améliorer les conditions de vie des populations et réduire les inégalités sociales. Ainsi, « le pays s’est engagé sur la voie de la transformation économique de manière à augmenter et diversifier la production sans entraver l’équilibre écologique », a déclaré le président de la République Evariste Ndayishimiye lors du sommet des chefs des Etats tenu à Nairobi le mois précédents. La campagne de lutte contre la pauvreté pour aspirer à la prospérité partagée et un développement durable se heurte à des défis de taille. Même si le gouvernement s’est donné un pari de l’émergence endéans 16 ans, à travers sa nouvelle « Vision d’un Burundi Emergent en 2040 et Développé en 2060 », l’économie nationale est plus que jamais exposée aux chocs extérieures.
  • Journal n° 607

  • Dossiers Pédagogiques