L’ avenue de la Jeunesse renferme pas mal de nids-de-poule. Un immense trou au milieu de cette avenue inquiète les riverains. Ce trou contraint les automobilistes à ralentir ou à s’arrêter pour laisser passager les piétons ou d’autres véhicules. Ils demandent au gouvernement d’intervenir rapidement. Sinon, l’avenue risque d’être impraticable et ainsi abandonnée à son triste sort.
L’ avenue de la Jeunesse sépare les quartiers Jabe et Bwiza. A sa gauche se trouve l’Hôtel Albatros tandis qu’à sa droite se trouve l’église vivante de Jésus Christ de Jabe communément appelé chez David. Près du magasin dénommé « Mutoyi » se trouve un immense trou au milieu de cette avenue. Quand la pluie tombe, ce trou se remplit d’eau. Les automobilistes se lamentent de l’état de cette avenue. Ils indiquent que l’exiguïté des parties non endommagées obstrue la circulation car, pour passer, ils doivent ralentir ou s’arrêter pour céder le passage à d’autres usagers de la route. Ce trou béant à une profondeur d’à peu près 50 cm et une largeur d’à peu près 1 m. Les gens qui exercent les activités à proximité de ce trou font savoir que les accidents ne cessent de s’y produire.
Alors que je prenais une photo, n’eût été le réflexe d’un menuisier qui était sur place, j’allais être écrasé par une voiture alors que je croyais être hors de portée des automobilistes. Et le menuisier de marteler : « Les piétons et les automobilistes sont obligés de se faufiler pour se frayer un passage. Un jour un véhicule est tombé dans le caniveau adjacent en essayant d’éviter ce trou ». Non loin de là, à a peu près 5 m, deux nids-de-poule s’observent. Devant le bâtiment abritant l’Interbank Burundi agence de Jabe s’observe un cratère. La route est foncée. Ces nids-de-poule au milieu de la route paralysent la circulation. Pour alerter les utilisateurs de cette avenue du danger que présentent ces nids-de-poule, ils les ont couverts d’objets visibles de loin.
Ils se lamentent
Les utilisateurs de cette avenue (automobilistes et des piétons) inquiète. Un automobiliste qui a requis l’anonymat indique que des fois il a peur de passer sur cette avenue et est obligé d’emprunter l’avenue de l’université. En scrutant l’intérieur de ce trou, on y observe un vide, précise-t-il .Il souhaite donc que cette route soit réhabilitée dans son entièreté. Il fait remarquer que si rien n’est fait la route risque d’être impraticable.
Gérard Ndayishimiye, un menuisier ayant un atelier de menuiserie non loin de ce trou fait savoir que cette route a été pour la 1ère fois endommagée par un camion de l’entreprise Brarudi. Il indique : « De peur d’être victime d’un accident, j’ai dû faire entrer la table à l’intérieur de l’atelier. Auparavant je travaillais étant à l’extérieur, à l’air libre ». Je demande que la route soit réhabilitée. Sinon, des vies humaines en succomberont.
Vincent Nibayubahe, Directeur Général de l’Office National de Routes fait savoir que cet office est en train de collecter le fonds et que les travaux de réhabilitation de cette avenue vont suivre
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