Cooperation

36ème sommet ordinaire de l’Union Africaine : Un bon bilan pour le chef de l’Etat

Le 36ème sommet ordinaire de l’Union Africaine s’est tenu à Addis-Abeba du 18 au 19 février 2023. Le chef de l’Etat du Burundi y a pris part. Dans cet article, Burundi Eco revient sur les grands moments des quatre jours qu’il a passé en République fédérale d’Ethiopie.

 

Bujumbura va accueillir le prochain dialogue continental de la jeunesse africaine

 

Dans ce sommet où il a été élu membre du Bureau de l’Union Africaine, en tant que 3ème Vice-Président, représentant ainsi la Région de l’Afrique Centrale, le Président Ndayishimiye a encore élevé sa notoriété au sein de la communauté internationale en général et africaine en particulier. Il devient également le leader désigné de l’Union Africaine pour la promotion du programme « Jeunesse, Paix et Sécurité en Afrique ».

Le programme d’entrepreneuriat des jeunes lui vaut des éloges

Surnommé ami des jeunes, le président Ndayishimiye est arrivé à Addis Abeba, mercredi, le 15 février 2023. Le lendemain, il était l’invité d’honneur de la première Assemblée publique des jeunes au sein de l’Union Africaine qui se tenait en marge de ce sommet. Le Président burundais a remis en mains propres à Moussa Faki Mahamat, Président de la Commission de l’Union africaine les instruments de ratification de la Charte Africaine de la Jeunesse.

A travers l’apposition de sa signature, le chef de l’Etat burundais a également adhéré au programme « One million next level » de l’UA qui consiste à permettre à 1million de jeunes à bénéficier des opportunités dans les secteurs de l’éducation, l’emploi, la santé et le bien être.

A cet effet, la Conférence a également entériné la décision relative à la tenue annuelle du dialogue continental de la jeunesse africaine à Bujumbura

Une opportunité pour jouer la carte diplomatique pour le président

Lors de son séjour à Addis-Abbeba, le chef de l’Etat du Burundi et président en exercice de l’EAC, a co-présidé avec son Homologue Angolais SE João Lourenço, le mini-Sommet sur la paix et la sécurité dans la Région Est de la RDC.

En marge de cette importante réunion, SE Evariste Ndayishimiye a échangé avec plusieurs hautes personnalités dont le Président de la RDC Félix-Antoine Tshisekedi, le Secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres et son Représentant spécial Parfait Onanga, chef du bureau de l’ONU auprès de l’Union Africaine.

Sur l’invitation d’Abiy Ahmed Ali, premier ministre éthiopien, le chef de l’Etat burundais Evariste Ndayishimiye, a participé aux travaux du Forum panafricain Aflex. Une occasion de recalibrer le panafricanisme sur base du présent pour guider l’avenir du continent. Antonio Vitorino, directeur de l’OIM, Hassan Mohamud, président somalie , la vice-présidente de la Banque Mondiale pour l’Afrique de l’Est sont aussi sur la liste des personnalités qu’a rencontré le président Ndayishimiye.

A propos de l'auteur

Dona Fabiola Ruzagiriza.

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Un environnement des affaires peu attractif

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A l’instar des autres pays, le Burundi se lance dans le redressement de son économie pour améliorer les conditions de vie des populations et réduire les inégalités sociales. Ainsi, « le pays s’est engagé sur la voie de la transformation économique de manière à augmenter et diversifier la production sans entraver l’équilibre écologique », a déclaré le président de la République Evariste Ndayishimiye lors du sommet des chefs des Etats tenu à Nairobi le mois précédents. La campagne de lutte contre la pauvreté pour aspirer à la prospérité partagée et un développement durable se heurte à des défis de taille. Même si le gouvernement s’est donné un pari de l’émergence endéans 16 ans, à travers sa nouvelle « Vision d’un Burundi Emergent en 2040 et Développé en 2060 », l’économie nationale est plus que jamais exposée aux chocs extérieures.

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