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Sommet d’affaires Burundi-Nigeria : la Brarudi pour les investissements à l’échelle africaine

Sous le haut patronage du Président de la République du Burundi, le Ministère du Commerce, du Transport, de l’Industrie et du Tourisme, la Bl’Ambassade de la République   Fédérale du Nigeria au Burundi et la Chambre fédérale de Commerce du Burundi ont organisé, du 27 au 29 septembre 2022, à Zion Beach, la première édition du Sommet d’affaires Nigeria-Burundi… Une belle occasion de consolider les relations existantes entre la Brarudi et les investisseurs de ce pays
La Brarudi dans le monde des investissements au Burundi

La Brarudi joue un rôle important dans la croissance de l’économie nationale à travers sa contribution dans le   développement économique et social du pays. Elle est le premier contribuable et créateur d’emploi généré par son business.

Soucieux d’aller toujours de l’avant, la Brarudi en tant qu’entreprise leader au Burundi ne pouvait rater la belle occasion d’échanger avec d’autres investisseurs locaux et étrangers sur les opportunités d’investissement. Par ailleurs, la Brarudi est membre de la CFCIB impliquée dans l’organisation de cet évènement.

Quid des relations avec les investisseurs étrangers…

La Brarudi entretient de très bonnes relations avec d’autres investisseurs tant locaux, régionaux qu’internationaux selon Rémy Ndayishimiye, chargé des relations publiques et du développement à la Brarudi,  « Nos opérations commerciales à tous les niveaux jouissent de ces bonnes relations traditionnelles. »

Ce sommet a constitué pour la Brarudi une très bonne plateforme de se connecter avec d’autres investisseurs à l’échelle africaine à travers les échanges des opportunités d’affaires dans plusieurs domaines.

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Journal Burundi Eco.

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éditorial

Vers la redynamisation de la filière café ?

Vers la redynamisation de la filière café ?

Le café reste le pilier de l’économie nationale dans la mesure où il apporte des devises et des revenus aux ménages. Cependant la production du café vert est en chute libre. Elle oscille autour de 8 000 tonnes alors que les projections portent sur une quantité exportable de 45 000 tonnes chaque année. Pour gagner ce pari, il faudra mobiliser des investissements conséquents pour redynamiser l’ensemble de la chaine de valeur. Malgré les tentatives de nationalisation de la filière café, les défis demeurent nombreux. Les milieux bien informés évoquent notamment le désintéressement de la population, le faible encadrement des producteurs, les opérateurs privés qui s’enrichissent sur le dos des producteurs.

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Vers la redynamisation de la filière café ?

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