Santé

Le Japon au secours des femmes séropositives

L’ ambassadeur  du japon au Burundi a signé ce mardi 7 novembre 2017 le contrat du don d’un montant de 75.330 US dollar avec le centre  Nouvelle  Esperance situé à Buyenzi en commune urbaine de Mukaza   dans le but de construire des locaux pour la consultation  des femmes enceintes  séropositives.  «Le japon considère la santé comme une priorité de sa coopération avec le  Burundi ».indique  l’ambassadeur japonais M.Takayuki  Miyashita  .C’ est dans cette optique  qu’il a opté pour la  pérennisation  sa collaboration depuis 2009   avec le centre Nouvelle Espérance.

Père Benno Beameister, directeur du centre  Nouvelle Espérance a  salué ce don en précisant qu’il sera utilisé dans la construction d’un bloc médical pour la prévention de la transmission du VIH∕ sida de la mère à l’enfant. De ce fait, ce don va beaucoup  contribuer  à   leur engagement dans l’  avenir à  avoir zéro infection à la naissance, zéro discrimination, zéro décès liés au VIH ∕ sida

« Je suis très ravie car  le centre nous soutient par  la gratuité des soins médicaux et nous aide dans la réalisation des activités génératrices de revenus. Donc, avec ce don, il va élargir ses services », précise Mme  Candide  Gakobwa, une des   bénéficiaires du centre.

Le  centre Nouvelle Espérance est un centre engagé dans la lutte contre le Sida. Il peux soigner et accueillir  2364 personnes vulnérables. indique Benno Beameister.

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Journal Burundi Eco.

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Vers la redynamisation de la filière café ?

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Le café reste le pilier de l’économie nationale dans la mesure où il apporte des devises et des revenus aux ménages. Cependant la production du café vert est en chute libre. Elle oscille autour de 8 000 tonnes alors que les projections portent sur une quantité exportable de 45 000 tonnes chaque année. Pour gagner ce pari, il faudra mobiliser des investissements conséquents pour redynamiser l’ensemble de la chaine de valeur. Malgré les tentatives de nationalisation de la filière café, les défis demeurent nombreux. Les milieux bien informés évoquent notamment le désintéressement de la population, le faible encadrement des producteurs, les opérateurs privés qui s’enrichissent sur le dos des producteurs.

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