Cooperation

La Directrice Générale régionale de la BAD dans nos murs

Depuis ce lundi 18 mars 2024, la Directrice Générale de la Banque Africaine de Développement (BAD), Mme Nnenna Nwabufo est en visite au Burundi. L’entretien avec les officiels, le lancement du nouveau programme triennal et l’évaluation de l’impact des projets financés par la banque figurent sur son agenda.

Le Bureau du Groupe de la Banque Africaine de Développement (BAD) annonce la visite de Mme Nnenna Nwabufo, Directrice Générale de la BAD pour l’Afrique de l’Est au Burundi du 18 au 21 mars 2024.

 Durant son séjour, Mme Nwabufo va s’entretenir avec les autorités burundaises sur l’état de la coopération entre le #Burundi et la BAD. Elle a déjà rencontré le ministre en charge des finances pour échanger autour des perspectives de coopération entre le gouvernement du Burundi et la BAD. Pour sa part, le Premier Ministre Gervais Ndirakobuca salue les appuis multiformes de la BAD dans les secteurs porteurs de croissance.

Lancement d’un nouveau programme triennal

La Directrice Générale de la BAD pour l’Afrique de l’Est participera également à la session de restitution des résultats du « Document de stratégie pays (DSP 2019-2023) de la Banque pour le Burundi » et la présentation du nouveau programme de coopération « DSP 2024-2026 » et ses domaines d’intervention prioritaires, lit-on sur le site web de la BAD.

En outre, Mme Nwabufo assistera également à la cérémonie de signature de l’accord de don pour la réalisation de la phase 2 du Projet ferroviaire conjoint Tanzanie-Burundi-RD Congo/section Tanzanie-Burundi. Elle se rendra ensuite sur le terrain pour visiter des projets financés par le Groupe de la Banque, qui sont en cours d’exécution, afin d’en évaluer l’état d’avancement.

Le Groupe de la Banque Africaine de Développement et le Burundi entretiennent une longue relation de coopération qui a démarré en 1968, année d’adhésion du pays à l’institution.

Depuis le début de ses opérations au Burundi en 1974, le Groupe de la Banque a financé des projets dans différents secteurs de la vie socio-économique. Ses investissements couvrent les transports, l’énergie, l’agriculture, le développement rural, le secteur social, l’eau et l’assainissement ainsi que des opérations multisectorielles.

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Benjamin Kuriyo.

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Vers la redynamisation de la filière café ?

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Le café reste le pilier de l’économie nationale dans la mesure où il apporte des devises et des revenus aux ménages. Cependant la production du café vert est en chute libre. Elle oscille autour de 8 000 tonnes alors que les projections portent sur une quantité exportable de 45 000 tonnes chaque année. Pour gagner ce pari, il faudra mobiliser des investissements conséquents pour redynamiser l’ensemble de la chaine de valeur. Malgré les tentatives de nationalisation de la filière café, les défis demeurent nombreux. Les milieux bien informés évoquent notamment le désintéressement de la population, le faible encadrement des producteurs, les opérateurs privés qui s’enrichissent sur le dos des producteurs.

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